A propos de la SBPCPV

Que veut dire Psycho-Criminologie /Psycho-Victimologie pour la SBPCPV

Objectifs généraux : définir une construction scientifique et professionnelle par la complexité qu’elle instruit ; en ce sens nommer ainsi agressologie et victimologie (selon que l’on se place de l’un ou l’autre côté auteur/victime ), s’inscrit dans une pensée de la complexité, de l‘implémentation et non de la complémentation, contre toute tentative de penser une alliance disciplinaire en terme de complétement ; ce qui ne serait qu’idéologie disciplinaire ou institutionnelle, totalisation négligeant les enjeux conceptuels et la spécificité des professions et des exercices… Ainsi écrire avec un trait d’union, c’est le refus de se nommer psychocriminologie, psychologie et criminologie ou victimologie, sociologie juridique, sociologie ou psychologie criminelle, psychologie légale, psychologie juridique, etc. …autant de concepts qui excluent la dimension structurelle de la complexité.

Changement de paradigme

Une autre approche disciplinaire : complexité implémentation et systémie, et non plus complémentation, idéologie disciplinaire. Une autre écriture.

Psycho-Criminologie….
Psycho-Victimologie…
Axe complexité, implémentation,
Systémie

psychocriminologie…
psychovictimologie…
psychologie et criminologie-psychologie légale…
psychologie criminelle…

Axe complémentaire, idéologie disciplinaire

Activités proposées par la SBPCPV

Lectures publiques. Colloques.

Débats sur des problématiques contemporaines. Pour professionnels et public tout venant.

Consultations

Offres d’accompagnement psycho-criminologiques et psycho-victimologiques individuels et de groupe (familiaux, de pairs…)

Formations

Apports conceptuels, méthodologiques et praxiques, thématisés sur une problématique ou une population spécifique.

Recherche

Thématiques : violences agies, violences subies. Problématiques contemporaines et processus psychiques.

Méthodologie : déconstructions des idéologies disciplinaires à l’œuvre et réélaborations d’objets complexes d’intervention, de conceptualisation, de nouveaux dispositifs à visée de changement.

Supervision

Retours sur expérience professionnelle (RSEP), analyse de pratiques professionnelles dédiées, problématisations et prescriptions. Supervision ACTPSP (Analyse clinique Trans professionnelle des situations problématiques).

La psycho-criminologie, une autre histoire clinique, professionnelle et institutionnelle

Sur le plan de l’histoire rennaise universitaire en Sciences Humaines, et hospitalière psychiatrique, ce fut le passage des intérêts centrés sur le fonctionnements et dispositifs hospitaliers psychiatriques, intra et extra muros, vers ceux du pénitentiaire. Le développement de la pratique expertale a ensuite, avec ce que cela suppose d’apprentissages et d’expériences sur un et par un autre milieu, et en référence à la psycho-pathologie, mis en évidence similitudes et différences.

Dans les années 60 le travail psy- était plus un travail de diagnosticien que d’un soignant thérapeute ou autre. Le courant institutionnel a déplacé les intérêts et les modes d’accompagnement tout comme les références
psychopathologiques. Sont apparus alors les suivis spécialisés, à domicile en ou CMP.

Au registre du pénitentiaire ce fut, dans un temps plus tardif, le développement SPIP/CPIP, une autre rationalisation des pratiques des comités de probations et de leur insertion et compétences dans le champ de la réinsertion, des rapports sanctions/soins, du système de punitivité.

Dans le même temps le dispositif psychiatrique inventait des cellules de suivi victimologique ouvrant une autre orientation, à côté de la psycho-
traumatologie qui commençait à s’institutionnaliser : la psycho-victimologie. C’est cette dynamique institutionnelle et disciplinaire qui a permis d’inventer la Clinique Psycho-Criminologique, Agressologie (versant auteur, mises en actes) et Victimologie (versant victime, retentissement)

L’objet de la Psycho-Criminologie : les violences subies et agies, les dispositifs conceptuels et techniques mis en œuvre pour leurs études et prescriptions.

La SBPCPV

La Société Bretonne de Psycho-Criminologie et Psycho-Victimologie inventée en 2016 à la suite de L’institut de Criminologie et Sciences Humaines de Rennes 2, (2004) s’est donnée comme tache de construire une pensée scientifique et professionnelle autonome, susceptible de produire de nouveaux savoirs dire et faire, identifiables à la fois par ses références territoriales, et ses références conceptuelles spécifiques.
Pourquoi Société Bretonne ? Parce que chaque territoire développe une pensée singulière, qui ne se rend pas à l’universalisme et à la pensée unique.

Psycho-Criminologie /Psycho-Victimologie

Objectifs généraux : définir une construction scientifique et professionnelle par la complexité qu’elle instruit ; en ce sens nommer ainsi agressologie et victimologie (selon que l’on se place de l’un ou l’autre côté auteur/victime ), s’inscrit dans une pensée de la complexité, de l‘implémentation et non de la complémentation, contre toute tentative de penser une alliance disciplinaire en terme de complétement ; ce qui ne serait qu’idéologie disciplinaire ou institutionnelle, totalisation négligeant les enjeux conceptuels et la spécificité des professions et des exercices… Ainsi écrire avec un trait d’union, c’est le refus de se nommer psychocriminologie, psychologie et criminologie ou victimologie, sociologie juridique, sociologie ou psychologie criminelle, psychologie légale, psychologie juridique, etc. …autant de concepts qui excluent la dimension structurelle de la complexité*

Nos partenaires :

– Direction de l’administration pénitentiaire
– Région Bretagne
– Département d’Ille et Vilaine
– Ville et Métropole de Rennes
– Centres Hospitaliers Spécialisés en psychiatrie
– Réseaux Violences intra familiales
– Centres de formations
– Association de défense de la famille et de l’individu victime de dérives sectaires

Formations en cours :

– Axiomatique et Sérialité
– TIDC
– Violences en Contextes Conjugaux
– Violences Intrafamiliales impacts et retentissements des violences subies, directement ou indirectement
– Violences éducatives ordinaires.

Colloques réalisés :

– 2018 : « Ça s’appelle violence conjugales » 15/11/2018
– 2019 : « Ça s’appelle violence conjugales… et après ? » 28/11/2019

Colloques en préparation :

– Malmenances judiciaires : Prévu pour fin 2025 ou début 2026

Lectures publiques réalisés :

– Harcèlement : 30 janvier 2018
– Expertise : 05 février 2019
– Inceste : 26 mars 2024